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28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 11:02
Annulation du budget 2011 : l'incompétence criante de la précédente majorité dont faisait partie Olivier Gacquerre !

Pour rappel, c'est Olivier Gacquerre, à l'époque premier adjoint de Béthune, qui avait présenté le débat d'orientation budgétaire en 2011.

Dans ses ordinateurs, la cour d’appel de Douai voit souvent revenir le nom de Béthune. Des années de procédures reflétant la vie politicienne... Cette fois, elle vient de rejeter l’appel de la mairie contre l’annulation du budget 2011 par le tribunal administratif de Lille. C’est grave docteur ?

1. Tout commence en 2011

Le 21 avril 2011, les élus votent le budget primitif. Ça passe mais le groupe d’opposition Aimer Béthune (Jean-Pierre Deruelle, Bernard Seux, André Delhaye) saisit le tribunal administratif de Lille. Deux motifs : ils n’ont reçu aucune note de synthèse qui aurait pu nourrir le débat d’orientation budgétaire ; à leur sens, le budget n’est pas sincère dans la mesure où il intègre des subventions dont le versement n’est pas acquis. Comme ils disaient de Stéphane Saint-André : « Le maire ne respecte jamais le règlement du conseil municipal ! »

2. Lille annule la délibération

En septembre 2013, Aimer Béthune jubile : le tribunal administratif de Lille annule la délibération du 21 avril 2011. Les opposants voient déjà invalidées toutes les décisions en découlant et une paralysie du fonctionnement de la Ville. Maire encore, Stéphane Saint-André reste zen, dénonçant « un coup politique » et répétant que « le budget a été consommé et le compte administratif voté. Le budget n’est pas frappé d’insincérité. On va faire appel bien sûr. » Dès 2012, tout de même, et même si SSA répète que la législation est imprécise, une note de synthèse est transmise aux élus avant le DOB.

La Voix du Nord

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 12:27

L’intersyndicale CGT, UNSA et FAFPT a débuté un bras de fer avec la mairie, la semaine dernière. FO, de son côté, a tracté jeudi. Ce mardi matin, en lieu et place du comité technique paritaire précédemment ajourné, a lieu une réunion de concertation. L’occasion de renouer le dialogue avec tout le monde ?

Est-ce le tract distribué par FO jeudi qui a changé la donne ? En lieu et place du comité technique, une réunion de concertation entre la mairie et les syndicats FO, CGT, UNSA et FAFPT a lieu ce mardi matin, de 9 h à 11 h 30.

Le comité technique censé valider le nouvel organigramme des services municipaux ajourné lundi dernier est donc remis au mois de juin. Calmer le jeu et les esprits : c’est le mot d’ordre d’une matinée qui apparaît comme l’une des dernières chances de rassembler l’ensemble des syndicats autour d’un important projet de restructuration.

Tract rose

Pas d’accord sur la forme, le syndicat arrivé en tête lors des dernières élections syndicales a communiqué auprès des agents municipaux, jeudi. Un tract rose, au titre engageant : « Plus d’encadrement, moins d’exécutants ». Pas de commentaires à la presse.

FO ne marche pas avec l’intersyndicale CGT - UNSA - FAFPT. Ça ne veut pas dire que, sur le fond, FO ne partage pas les inquiétudes de ses confrères (lire ci-dessous). La différence ? Alors que la CGT, UNSA et FAFPT faisaient ajourner le comité technique paritaire en quittant promptement la séance, FO en profitait pour s’entretenir avec « l’autorité », soit les représentants de la ville, dont Amel Dahou-Gacquerre, l’adjointe chargée de la politique des ressources humaines, de la communication institutionnelle et de la modernisation des services municipaux.

« Claquer rapidement la porte du dialogue ne pourra être qu’au détriment des agents sachant que M. le maire a le pouvoir de décision final », rappelle le syndicat. L’adjointe révélait, la semaine dernière, des échanges fournis, enrichissants, dont certains éléments portés par le syndicat avaient été retenus.

Dans son tract, FO indique notamment avoir dénoncé « des incohérences dans ce projet, ainsi que la précipitation de l’autorité à le mettre en place ». En premier lieu, le syndicat demandait un report de la commission d’au moins quinze jours. D’abord rejetée, cette demande semble avoir été acceptée par la municipalité.

« Dans le flou »

Quant à savoir si tous les postes seront ouverts « par respect d’équité » et « la mise en place de ce projet au 1er septembre », il y a fort à parier qu’il en sera question ce matin.

« Ce fameux comité technique s’est transformé en une réunion de concertation, constate Jean-Paul Brasme, syndicaliste UNSA. Cette réunion, on la demande depuis des mois et des mois. Est-ce qu’on accepte le dialogue ? Oui, on veut discuter. Mais pourquoi n’a-t-on pas discuté avant ? Sur la réorganisation, démissionner de son poste pour y repostuler, d’autres communes l’ont fait, comme Valenciennes. Ce qu’on souhaitait, c’était au moins d’avoir la liste des postes ouverts ou fermés. Jusqu’à présent, on est dans le flou. » Renouer le dialogue devrait permettre d’y voir plus clair.

Les arguments de FO

Dans son tract distribué jeudi, le syndicat FO explique sa position.

« FO n’a pas souhaité s’opposer à la volonté de l’autorité de mettre en place les moyens qu’elle a jugé nécessaires à la réussite des objectifs politiques qu’elle s’est fixés. (…) Sceptique vis-à-vis de la procédure de recrutement par jury interne, FO a demandé des garanties de transparence sur leur déroulement. (…) FO s’est fait gruger car la transparence n’était pas au rendez-vous. »

Le syndicat déplore aussi un manque de dialogue : « Qui a postulé à chaque poste ? Cette information pourtant réclamée lors du comité technique paritaire ne nous a pas été donnée. »

Également pointés du doigt, les trois recrutements externalisés pour le poste du directeur général adjoint, chef du département des services techniques et chef de département développement et aménagement urbain. « Nous constatons qu’il y aura une augmentation des effectifs pour la catégorie A. Des charges salariales supplémentaires sont donc possibles malgré la rigueur de l’austérité qui accable les plus démunis d’entre nous. »

FO réclame d’avoir accès aux documents concernant la masse salariale de la catégorie A, avant et après le recrutement de tous les chefs de département, ainsi que le tableau récapitulatif des salaires et indemnités par grade dans les trois catégories. Ce document avait été fourni par l’ancienne municipalité.

Source : La Voix du Nord

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19 mai 2015 2 19 /05 /mai /2015 18:29

La réunion du comité technique prévue ce lundi concernant la réorganisation des services a été ajournée.

Les représentants syndicaux UNSA, CGT et FAFPT « ont décidé de ne pas siéger au comité technique concernant l’organigramme global de la commune de Béthune, afin de manifester leur mécontentement », indiquent-ils par un communiqué de presse. Un mécontentement exprimé par la CGT qui a donc fait tache d’huile auprès des deux autres syndicats sur quatre. FO, majoritaire lors des dernières élections, ne s’est pas joint à cette intersyndicale. « Nous regrettons ce manque de dialogue et de concertation et déplorons qu’à ce moment si important, le maire ne soit pas présent. »

« Déjà, lors du comité technique du 20 février, nous avions dénoncé l’absence de discussion sur la méthode engagée concernant l’organisation des départements qui ne laissaient aucune marge de manœuvre et un déroulement dans la précipitation. L’autorité territoriale s’était engagée à privilégier les fonctionnaires titulaires aux contractuels, en réalité, il en est autrement. »

Dans leur courrier commun, les syndicats CGT, UNSA et FAFPT « demandent un rendez-vous en urgence avec le maire pour engager une véritable concertation pour une mise en œuvre de l’action publique tenant compte des besoins et des moyens accordés aux agents pour exercer sereinement leur mission. »

Source : La Voix du Nord

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 21:44

Selon l’association Mieux vivre dans la cité, regroupant des habitants de la cité des Cheminots de Béthune et Verquin, le quartier se dégraderait. Une pétition circule dans laquelle vandalisme, dégradation, vol, insécurité, pollution sont dénoncés et qui s’oppose à toute démolition.

« La cité des Cheminots est en déclin », déplore Jean-Pierre Guyot, président de l’association Mieux vivre dans la cité. S’il se réjouit de la journée portes ouvertes organisée par le propriétaire-bailleur ICF, en vue de vendre des habitations, le 11avril, il estime l’initiative « très nettement insuffisante ». Quarante-et-une maisons sont fermées dont douze murées et ce depuis de très nombreuses années. Un recensement effectué par les représentants des locataires de l’association. « Certaines sont des décharges à ciel ouvert : épave de voiture rue de Lorette, entrepôt de palettes en pleine cité rue de Reims… Ça attire des rats qui se baladent, des squats et du vandalisme, je vous dis pas ! »

Dans la pétition qui circule, à l’attention d’Olivier Gacquerre, maire de Béthune, les signataires estiment qu’ICF, « cautionné par la nouvelle municipalité, remet en cause les dispositions prises par l’ancien maire », à savoir l’abrogation des permis de démolir de juin 2011 des maisons situées sur le territoire de Béthune. « Olivier Gacquerre a annoncé la démolition de la maison située 33 rue Barbusse afin d‘y construire huit maisons préfabriquées en bois. Nous nous y opposons avec fermeté. »

« Préserver clôture végétale et espaces verts »

Jean-Pierre Guyot s’explique. « Cette maison est loin d’être en ruine. On n’est pas contre les démolitions mais quand on voit l’architecture des maisons face à l’ex-magasin Ed, ou les dernières réalisations à l’angle de la rue de Lorette et de Vimy, il faut reconnaître qu’il y a une sacrée différence. Seule la construction à forte densité, rentabilité oblige, reste le fer de lance d’ICF et de la municipalité actuelle. Les maisons à colombage de la cité ont du cachet. Les habitants de la cité des Cheminots, tant locataires que propriétaires, tiennent à préserver leur cadre de vie, clôture végétale et espaces verts et ne souhaitent pas voir dénaturer leur environnement, considérant que le premier problème à résoudre est celui des logements vacants. On a des demandes d’achat et des maisons restent pourtant fermées. C’est ça qui est terrible et ça me pèle le ventre de voir le quartier se dégrader. Nous trouvons le temps un peu long et déplorons le manque d’entretien des espaces verts et des haies qui faisaient le charme du quartier. »

Source : La Voix du Nord

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5 mai 2015 2 05 /05 /mai /2015 19:28
L'argent public dilapidé dans la communication

Alors que la ville de Béthune est dans une situation financière difficile, la municipalité dilapide l'argent public à tour de bras dans la communication.

Le vent a eu raison de cette communication outrancière : un signe ?

Article La Voix du Nord

Alertés par un commerçant, les pompiers de Béthune ont dû intervenir en urgence aux alentours de 13 h 45 dans la rue des treilles pour retirer la bâche « Cap 2020 » qui menaçait de tomber sur la voie publique. Toutes les autres bâches vont être retirées cet après-midi par les services techniques.

Un gros coup de vent en fin de matinée et hop, voilà les bâches Cap 2020, installées par la mairie fin avril déjà prêtes à s’envoler… vers d’autres cieux ?

La faute à la bâche… trop lourde

Un commerçant de la rue des Treilles, conscient du danger public de la chute du panneau a immédiatement alerté la municipalité. Aux alentours de 13 h 45, les pompiers de Béthune sont intervenus en urgence pour retirer la bâche Cap 2020. « La structure métallique porteuse, seule, ne représente aucun danger, elle est câblée, précise Ali Hadj, adjudant-chef des pompiers de Béthune. Elle risquait de tomber à cause de la bâche, trop lourde qui faisait office de cerf-volant. »

Un mauvais présage pour Cap 2020 ?

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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 12:58
Conférence de presse de l'ancien maire de Béthune : un rappel du bilan Saint-André/ Gacquerre s'impose

Communiqué de Ludovic PAJOT, conseiller municipal de Béthune

Dans une conférence de presse, Stéphane Saint-André, ancien maire de Béthune, fait le bilan son son ex premier adjoint, aujourd'hui maire.


Celui qui a subit un désaveu cinglant il y a un an lors des dernières municipales avec un score minable de 20% des voix au premier tour pour un député-maire sortant, pense déjà aux prochaines municipales.

Le député de la 9e circonscription oublie qu'il a géré la ville pendant 5 ans avec Olivier Gacquerre et que son action municipale a été rejetée par 80% des Béthunois.

L'ancien maire de Béthune qui dénonce aujourd'hui les indemnités des élus alors que lui même disposait d'une voiture de fonction avec chauffeur quand il était maire est complètement antinomique.

Cependant aujourd'hui les indemnités des élus sont trop élevées si on compare avec d'autres villes de la région, comme le Front national l'a dénoncé à plusieurs reprises.


Il convient donc de rappeler le bilan de Stéphane Saint-André :
-Le lancement de la construction de la mosquée de Béthune de 700 places sans concertation avec les Béthunois

-Des investissements très faibles

-La hausse de l'insécurité dans certains quartiers ( Catorive, rue de Lille...)

-Un immobilisme latent (contentieux Sofadoc, friches, commerces...)

-Une gestion très opaque

Aujourd'hui, la gestion UDI/ UMP s'inscrit dans la continuité du mandat de Stéphane Saint-André.

Face à la gestion catastrophique du duo Gacquerre / Gibson, les Béthunois attendent une autre alternative que le recyclage de ceux qui ont échoué par le passé et dont leur bilan a été sévèrement rejeté lors des dernières élections municipales.

A la différence de Stéphane Saint-André et de son équipe, le Front national est le seul qui n'a aucune responsabilité dans la situation dans laquelle se retrouve aujourd'hui la ville de Béthune.

Le FN/RBM incarne cette alternative et fera le premier bilan de la majorité municipale UDI/UMP prochainement.

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25 avril 2015 6 25 /04 /avril /2015 09:00
La municipalité a sorti ses guirlandes de communication pour brasser du vent

Un peu partout dans Béthune, la majorité municipale a installé des banderoles pour faire de la pub sur son soi disant "projet Béthune Cap 2020" mais surtout pour cacher le vide de son action.


Ce "Béthune CAP 2020" n'est qu'une liste de velléités banales sans réellement tenir de compte des véritables problèmes, enjeux et de la vision qu'il faut avoir pour que Béthune retrouve toute sa place de ville centre attractive et enraye la fermeture des commerces, la perte de population...

D'autant plus que certains engagements ne sont mêmes respectés (démocratie participative...) et que la majorité municipale essaye de masquer la réalité de la situation aux Béthunois (contentieux de l'ancienne patinoire, Q Park...).


Ce "projet', qui a tout d'abord été exposé lors des voeux du maire a connu un énorme flop avec très peu de monde présent.
Le magazine municipal du mois de Mars 2015 qui était consacré à ce soi disant "projet", en pleine campagne des départementales, n'a pas convaincu les Béthunois puisque les candidats représentants la majorité municipale ont été éliminés du 2e tour en faisant moins qu'aux dernières municipales.
Les Béthunois en ont marre de cette municipalité qui brasse du vent.

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15 mars 2015 7 15 /03 /mars /2015 21:11
Olivier Gacquerre et le miroir aux alouettes d'Anticor

Sur les tracts des dernières élections municipales, Olivier Gacquerre s'était targué d'avoir signé la charte Anticor. Au bout d'un an, il convient de faire un premier bilan sur l'application de cette charte qui semble être tombée aux oubliettes.

1) Non cumul et limitation des mandats

Olivier Gacquerre cumule le mandat de maire avec celui de président du SIVOM ( à noter que l'indemnité de la présidence du SIVOM n'a pas été rendu publique)

2) Bonnes pratiques de gestion

-Au lieu de former les élus, la ville ne cesse de recourir à des cabinets extérieurs de conseil qui ont un coût important et qui s'ajoutent aux indemnités des élus.

-En ce qui concerne le coût des collaborateurs de cabinet, il n'est pas public.

3) Transparence

-Toujours aucune nouvelle de la commission éthique indépendante

4) Reconnaissance de l’opposition

-Exclusion d'une partie de l'opposition du SIVOM

-Les élus de l'opposition ne reçoivent presque jamais d'invitation pour les manifestations de la ville.

-Toute l'opposition n'a pas été consultée pour la présidence de la commission des finances.

5) Participation citoyenne

-On attend toujours la mise en place des conseils de quartier

6) Publicité des informations

-Depuis un an toujours aucune publication des comptes rendus et procès-verbaux des conseils municipaux sur le site internet de la ville.

Cela démontre que cette charte n'était qu'un miroir aux alouettes utilisé par Olivier Gacquerre lors des dernières élections municipales. Le silence d'Anticor face au comportement de cette majorité municipale démontre une nouvelle fois l'inutilité de cette association.

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:52

De nombreux Béthunois sont inquiets de la folie de la municipalité qui abat les arbres dans tout Béthune.

La ville de Béthune a la chance d'avoir de beaux arbres en centre ville. Après le monument aux morts, la Place Jules-Senis, maintenant ce sont les arbres de la Place Lamartine (place du marché) qui sont abattus. Toujours le même prétexte : les arbres seraient malades.

C'est un élagage qu'il aurait fallu. Est-ce que justement ce n'est pas simplement pour éviter l'élagage des arbres que les arbres sont abattus ? C'est assez paradoxal puisque Mr Gibson a évoqué l'embauche d'un élagueur.

Encore une ineptie de la majorité municipale...

Bientôt ce sont les arbres du jardin public qui seront abattus ?

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 10:32

Pas de surprise : la SCI Foncière de Béthune, propriétaire de la patinoire de Béthune, n’a pas radouci dans ses demandes. Le tribunal de Béthune lui avait accordé 8 millions d’euros, la Ville a fait appel. Ce lundi, la Cour d’appel de Douai a écouté des avocats partagés entre le droit et la morale. Elle rendra son avis le 18 mai.

1. Souvenez-vous

On vous a planté le décor hier : en mai 2007, la patinoire passe devant notaire des mains de la Ville à celles de la SOFADOC. Roger Flament n’en est pas à son premier projet commercial et son but n’est pas de garder le site. « La SOFADOC était le promoteur constructeur, explique son avocat Me Garban dans la salle des pas perdus. La SCI devait être l’exploitant » d’une surface commerciale au gré d’une vente sur plans. On attendait Tati, C&A... Roger Flament achète le bâtiment pour 4,6 M € – dont 1M € jamais versé car subordonné à la démolition de la barre HLM et à la création controversée d’un parking. Le jour-même de son achat, la SOFADOC revend son bien à la SCI Foncière de Béthune, portée par un puissant homme d’affaires, pour 8,3 M € . Un point qui fait jaser mais les avocats sont formels : les tractations duraient en fait depuis des mois.

2. La bisbille

La barre HLM n’est pas tombée à temps, la SCI a mis la Ville au tribunal. Le 26 février 2013, les juges du tribunal correctionnel de Béthune estiment que la mairie n’a pas respecté son engagement, la condamnant à presque 8 m € pour la SCI, et à plus de 350 000 € pour le préjudice moral de la SOFADOC. C’est pour ça que ce lundi après-midi les deux clans se sont retrouvés à plaider devant la Cour d’appel de Douai. Chacun campé sur ses positions, forcément.

Lire la suite...

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